L'ILLUSTRATION · JOURNAL UNIVERSEL § ||1| | | | - - - - E> V> Direction, Rédaction, Administration : Toutes les communications relatives au journal, réclamations, demandes de changements d'adresse , doivent être adressées franco a M. AUG. MARC, DIRECTEUR-GERANT Les demandes d'abonnement doivent être accompagnées d'un mandat sur Paris ou sur la poste. 28° ANNÉE. V0L. LV. N° 1401 S a ma e ul i 1 ° * J tu sa v i e r° 1 $ 7 CD L'adminiſtration ne répond pas des manu1triti et ne t'engage jamais à les intérer. Vu les traités, la traduction et la reproduction à l'étranger sont interdites. BUREAUX : RUE RICHELIEU, 60. Abonnements pour Paris et les Départements : 3 mois, 9 fr.; — 6 mois, 18 fr.; — un an, 36 fr. ; — le numéro, 75 c. a collection mensuelle, 3 fr.; le volume semestriel, 18 fr. AIRONNEMENTs POUR L°ÉTRANGER s Mêmes prix; plus les droits de poste, suivant les tarifs. Les abonn. partent du 1er n° de chaque mois. SOMMAIRE Texte : Revue politique de la semaine. - Courrier de l'aris. - Naufrage du steamer Seine-et-Tamise, N° 2, sur la jetée nord du port de Fécamp. — M. Émile Ollivier. - Le Tribunal d'hon neur, nouvelle, par M. Paul Féval (suite). - Le Concile oecumé nique. — Chronique parlementaire (suite). - Giulia Grisi. — Théâtre de l'Opéra Comique : Reve d'amour, opéra-comique en trois actes, par MM. Dennery et Cor mon, musique de M. Auber. - Les Théâ tres. — Chronique scientifique : les Aliments. Gra•oures : Monseigneur Fessler, secrétaire gé néral du Concile. — M. Émile Ollivier, d'saprès la photographie de M. Franck. - Naufrage du steamer Seine-et-Tamise, N° ?, à l'entrée du port de Fécamp, le 10 décembre 1869. — M. Émile Ollivier. — Le Concile œcuménique : la salle des assemblées du Concile, à Saint-l'ierre, pendant une séance. — Giulia Grisi. — Reve d'amour, opéra-comique en trois actes, musique de M. Auber. — Théâtre des Folies-Dramatiques : les Turcs, musi que de M. Hervé : acte II; le bain des oda iisques. - Rébus. ---r-S-:-L 2-2 AVIS Le renouvellement du 1er jan vier étant l'un des plus impor tants de l'année et occasionnant dans les bureaux de l'Illustration un travail exceptionnel, l'Admi nistration prie MM. les Sous cripteurs de renouveler sans retard leur abonnement échu le 31 décembre; ils éviteront ainsi toute cause d'erreur et toute la cune dans la réception du jour mal. Toutes les demandes et com munications relatives au jour- - mal doivent être adressées à M. AUG. MARC. –,-G>#-3-S-4<> :) < / > • R S--> EVUE #oLITIQUE DE LA SEMAINE Enfin! le Journal officiel du mardi 28 décembre a parlé, pour nous annoncer que l'Empereur, à la date du 27 décembre, avait écrit une lettre à M. Émile Ollivier pour le prier « de lui désigner " $ Mgr FESSLER, secrétaire-général du Concile. — (Voir page 10). º = > RºBERT / les personnes qui peuvent former avec lui un cabinet homogène représentant fidèlement la « majorité du Corps législatif, et résolues à appli « quer, dans sa lettre comme dans son esprit, le « sénatus-consulte du 8 septembre. » Et l'Empe 1eur termine en disant qu'il compte sur le dévoue ment du Corps législatif pour l'aider dans la tâche qu'il a entreprise de faire fonctionmer régulière ment le régime constitutionnel. Encore quelques jours, et nous connaîtrons la composition du nouveau minis tèl'e. La session extraordinaire s'est terminée par une dernière annu lation, celle de M. Isaac Pereire. La vérification des pouvoirs a donc abouti à cinq amulations, qui sont celles de MM. de Sainte Hermine, Gourgaud, Rouxin, Ma rion et Isaac Pereire. Cette lon gue et pénible discussion sera la condamnation du système des candidatures oflicielles. On sait qu'à l'époque de l'an nexion de la banlieue de Paris les débitants avaient obtenu, jus qu'à l'établissement par la Ville d'un entrepôt général, un droit d'entrepôt provisoire qui devait durer dix ans. Les dix ans Vont expirer, et la Ville ne possède pas encore l'entrepôt général qu'elle devait construire. C'est pour re médier à cette solution que M. Ju les Simon a saisi la Chambre d'un projet de loi pour lequel il de mandait l'urgence. Le projet de loi de M. Jules Simon tendait à faire continuer jusqu'au 1er avril 1870 la faculté de l'entrepôt à domicile. Mais ce projet a été combattu par M. Ma gne, qui s'est engagé, au nom du gouvernement, à donner aux in téressés un entrepôt réel provi | -- soire, et qui a, d'ailleurs, pro - mis que le projet de loi relatif % à l'entrepôt définitifserait soumis à la chambre avant la fin du mois COlll'allt.